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«Organisme national sans but lucratif de soutien aux patients dans le domaine du cancer colorectal, Cancer colorectal Canada se consacre à sensibiliser et à éduquer la population sur le cancer colorectal, à soutenir les patients et leurs aidants ainsi qu’à défendre les intérêts des personnes touchées par cette maladie.»
Le site offre des informations sur la prévention., le dépistage, le traitement du cacncer du colon ainsi qui sur la vie après le cancer du colon.

Visité le 2024-11-07

Témoignage d'un homme atteint d'un cancer du rectum et de sa mère atteinte du même cancer 20 ans plus tôt.

"Ce livre est d'abord celui d'un dialogue autour de deux témoignages personnels mais c'est aussi la confrontation de deux environnements thérapeutiques à vingt ans de distance. S'y ajoute le regard des soignants."

Propos de plusieurs intervenants: le professeur Rolland Parc; Françoise Madjour, surveillante générale; Nelly Moutardier, infirmière-stomathérapeute; Évelyne Fonty, philosophe.

"Je suis irrévérencieuse, audacieuse, avec mon franc-parler. Je ne suis pas toujours aimée, mais je m'affirme. Je remets les pendules à l'heure.

Quelques mois avant de prendre sa retraite, Mme Legendre apprend qu'elle souffre d'un cancer. Cela a provoqué une remise en question totale ; remise en question de ma vie, de ma vie de couple, de mes relations, de mon caractère, etc. Le temps que j'ai passé couchée dans mon lit, j'ai eu le temps de réfléchir.

Trente-cinq traitements de radiothérapie plus tard, 175 pages plus tard, Marie-Victoire Renée Legendre en est à sa 8e année de rémission." (Extrait de l'article de Daniel Rancourt, Les Actualités, samedi 26 mars 2005, p. 5)

Extrait:

"Écrire est la plus belle façon d'évoluer. Écrire oblige à réfléchir, à investiguer, à approfondir ce mal qui nous bouffe tous : la Souffrance." (p. 175)

Verso couverture:

"Ce livre est un beau témoignage de guérison.
Jean-Paul Dutrey commence à pratiquer le bouddhisme Zen Soto avec Maître Deshimaru dès 1976 et devient son disciple. Il pratique également les arts martiaux chinois, Tai Chi Chuan, Épée et Sabre, et poursuit des études en médecine chinoise sous la direction du Professeur Leung Kok Yuen.
À l'âge de 57 ans, la médecine allopathique lui découvre un cancer avancé du rectum. Après l'ablation chirurgicale, il refuse la chimiothérapie et choisit une autre voie de guérison, alliant les traditions millénaires du Zen, de l'arbre Zhan Zhuang, du Qi Gong, au moyen de la respiration abdominale, des postures, des mouvements pour retrouver la santé.
La pratique régulière de ces techniques permet au corps de s'autoguérir au niveau de l'énergie des organes et des émotions. De cette manière, les défenses naturelles de l'organisme sont renforcées. Le Zen et le Qi Gong aident le malade à mieux supporter les effets secondaires de la chirurgie ou de la chimiothérapie et préviennent une récidive après une rémission.
La voie du Zen, de l'Arbre et du Qi Gong n'a pas la vocation de se substituer au traitement du cancer. C'est avant tout un art d'être dans la santé, de faire face aux épreuves de la vie, de la maladie et du vieillissement de l'organisme. C'est également une attitude devant la mort.
L'auteur a conçu cet ouvrage comme un véritable "pont médical et psychologique" entre l'orient et l'occident, qui permet au lecteur bien portant ou malade d'entretenir ou de restaurer l'unité du corps et de l'esprit, c'est à dire les capacités d'auto-guérison que tout être humain possède."

Extrait

"Vous pouvez participer à vos soins et prendre des décisions informées si vous comprenez davantage votre diagnostic et vos options de traitement. Cette publication a été conçue afin de satisfaire vos besoins en matière d’information. Nous avons également ajouté les éléments suivants afin de rendre ce guide encore plus pratique :
• Glossaire : trouvez des définitions pour les mots en caractères gras surlignés en bleu dans la section Que signifie ce mot?, à la page 62;
• Tableau des noms de médicaments courants : vérifiez le nom générique et le nom commercial de médicaments fréquemment utilisés à la page 68;
• Suggestion de références : trouvez des informations additionnelles sur des ressources utiles telles que des livres, des sites Internet, des vidéos ainsi que des groupes de soutien dans la section Trouver de l’information, à partir de la page 59."

Ce document pernet de se renseigner sur les options disponibles pour le dépistage du cancer colorectal ainsi que sur les avantages et les inconvénients liés à chacune d’elles.
Utiliser cet outil d’aide à la décision permet au personnel professionnel de santé et aux personnes admissibles de la population québécoise de
1.Prendre connaissance des données probantes
2.Clarifier leurs volontés, leurs valeurs et leurs préférences
3.Prendre conjointement une décision éclairée relative au dépistage du cancer colorectal.

"La radiothérapie peropératoire (RTPO) consiste à irradier une cible tumorale au cours d’une intervention chirurgicale, soit directement, soit à l’endroit où elle se trouvait avant son ablation. La RTPO s’applique aux cancers du sein, du rectum, du côlon, du pancréas et du cerveau. Souvent administrée en une seule dose, elle peut aussi être précédée ou suivie de radiothérapie externe (RTE), répartie en plusieurs fractions souvent échelonnées sur trois à sept semaines. Les protocoles de traitement varient selon les guides de pratique ou les lignes directrices des différents systèmes de santé.

La Direction québécoise de cancérologie (DQC) souhaite faire le point sur l’utilité clinique de cette technologie avant de considérer son éventuel déploiement dans le réseau québécois de santé. La DQC a adressé une requête à l’Institut national d’excellence en santé et en services sociaux (INESSS) pour connaître l’état des preuves concernant la RTPO appliquée aux cancers du sein, du rectum et du cerveau. Cette requête a été traduite en questions d’évaluation sur l’efficacité clinique, l’innocuité, les caractéristiques opérationnelles et certains aspects économiques de cette technologie. Ces questions ont orienté les stratégies de repérage et de traitement de l’information pertinente. L’éventail diversifié en quantité et en qualité de l’information sur les trois cancers retenus aux fins de la présente note informative a mené aux conclusions suivantes." (p. 1)

Note informative rédigée par François Pierre Dussault et Khalil Moqadem
Unité d’évaluation en cancérologie ? Vice-présidence à la production scientifique