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"Pendant dix-sept mois, Aurore Merle a accompagné sa maman atteinte d'un glioblastome de niveau 4, une tumeur au cerveau. Elle avait à peine 54 ans lorsqu'elle a eu son dernier souffle de vie. Dans son livre, l'auteur retrace le combat de sa mère contre son cancer, comment elle accepte ses changements d'humeur, son envie d'obscurité, ses silences... Elle honore sa mémoire et la fait vivre au travers ce témoignage. Ce récit, plein d'émotions, s'adresse à tous ceux qui sont ou ont été touchés de près ou de loin par la maladie." (Vivre, no 361, 2014)

Verso couverture:
"Une jeune femme en mal de mer quitte Montréal pour retrouver le Sept-Iles de sa jeunesse. Mais l'homme qui l'accompagne n'est pas le bon, ce que la naissance d'un enfant ne réussit qu'à confirmer. Et toute cette tension a un prix: voilà qu'une tumeur au cerveau est détectée.
Ode à la vie, à un coin de pays et à ses habitants, ode, surtout, à la grande bleue, cette mer qui accueille le fleuve à bras ouverts, ce courageux roman de Myriam Caron est empreint d'une incroyable sérénité et d'un insatiable appétit de vivre malgré la tumeur qui, dans la réalité menace son existence de rêve."

Extrait:

"Il s'appelait Thomas Derale. Il est mort tragiquement à 55 ans, et même dans cet épisode difficile, il a su inspirer tous ceux qui l'entouraient. J'aimerais vous raconter son histoire, qui il était, comment il exerçait son leadership et la façon dont il a quitté ce monde. Dans les pages qui suivent, je vous dévoilerai les secrets qu'il m'a enseignés." (p. 14)

L'auteur raconte l'histoire d'un homme d'affaires prospère, décédé d'un cancer du cerveau.

Verso couverture:
"Atteint du cancer, un enfant se repose dans son jardin. Il observe un oiseau, guetté par le chat de l'enfant. Se remémorant les étapes de sa maladie, il s'aperçoit que s'il fait un geste pour faire fuir l'oiseau, il lui sauve la vie.
Cette analogie entre une vie sauvée et la lutte contre la maladie nous montre combien l'aide et le soutien sont important pour la combattre."

Très beau texte. Les illustrations et leurs couleurs reflètent bien les émotions de l'enfant. L'analogie permet de faire de belles discussions.

Album illustré à l'intention des 7 à 12 ans.

"Lucie Labrèche est épouse et mère de deux merveilleuses filles. En 1994, à l'âge de 29 ans, elle fut diagnostiquée avec un cancer du cerveau en phase terminale. Cette expérience changea sa vie à tout jamais. Entourée des siens et de leur amour inconditionnel, elle a choisi la vie en y mordant à pleines dents et en ne se laissant pas abattre par la pente abrupte à gravir. Convaincue de sa guérison, elle a poursuivi la réalisation de ses rêves malgré des moments très difficiles, se promettant bien de livrer un message d'espoir à ceux traversant la même épreuve. Après huit années de cheminement, c'est avec un profond sentiment de joie qu'elle réalise l'un d'eux."

Verso couverture:

"À la fin du mois d'août 2001, alors que je suis installée dans mon bureau, au premier étage de la maison d'édition où je travaille, ma vie bascule. Littéralement, elle tombe par terre. Finie, l'assurance aveugle de durer toujours. Finis, le jeu social et ses divertissements. Fini, le confort d'une société construite par et pour ceux qui vont bien. Est-ce la fin de tout? Non. Car dans l'expérience extraordinairement violente qui consiste à affronter l'idée de sa propre disparition, on apprend beaucoup. Sur la force des instants. Sur le courage et la fragilité. Sur les puissances de l'amitié. Et sur notre capacité à rire. De tout.

La vie est une maladie mortelle. Mais c'est la vie. Marie Desplechin et Lydie Violet ont écrit ce livre ensemble, pendant de longs mois, sans certitude de jamais le terminer. Ni entretien, ni témoignage, ni récit à deux voix, c'est , à force d'écoute et de partage, un livre où le je qui s'exprime est celui d'un seul auteur."

"Le témoignage de Véronique Lettre, jeune publicitaire qui a appris en 2009 qu'elle avait une tumeur au cerveau avec peu de chances de survie, est à la fois très touchant et très drôle. On y suit au jour le jour les différentes étapes de sa vie avec la maladie (opération, convalescence, puis diagnostic, radio, chimio, perte de cheveux et d'estime de soi ) et de son attitude face au mal qui la ronge. Le cancer ce n'est pas drôle. Mais vaut mieux en rire qu'en mourir, se dit-elle. Et elle ne se gêne pas pour surnommer sa tumeur Germaine puisque c'est elle qui a pris le contrôle de son corps! Les passages où elle raconte la réaction de ses enfants (sa fille qui lui demande la permission de pleurer, son fils qui lui donne des sous pour qu'elle s'achète des Tylenol et guérisse plus vite) vont vous arracher des larmes.
Mais c'est le récit de son parcours de combattante dans les couloirs des hôpitaux débordés, ses douze travaux d'Hercule pour retrouver des dossiers ou des résultats d'examen perdus, qui m'a le plus ébranlée. Combattre un cancer, c'est une chose. Mais s'il faut en plus se battre contre une bureaucratie muette, sourde et aveugle, c'est rajouter une couche de frustration dont on n'a vraiment pas besoin quand on est affaibli et confronté à la possibilité d'une mort imminente.
Véronique Lettre a eu la chance d'être bien entourée, et d'être dotée d'un bons sens de l'humour et de la débrouillardise. Mais pour une patiente comme elle, combien d'autres se trouvent complètement démunis devant le système?"
Le Journal de Québec, édition électronique, Weekend, 2 octobre 2010, p. 6

Extrait:

"Ce livre a été conçu pour les personnes aux prises avec la maladie ou en état de choc. Il vise à leur fournir des outils de survie essentiels tout en les amenant à considérée l'épreuve sous un jour nouveau : une occasion d'éveil. Le fait de se retrouver soudain avec une maladie grave est un événement bouleversant : l'empire du corps vacille, les repères basculent, le spectre de la mort nous observe telle une sourde menace à laquelle nous ne sommes pas préparés. À cet instant, nous réalisons toute la valeur du précieux corps humain comme le désignent les Bouddhistes, ce temple fragile, infiniment complexe, et dans son essence, indissociable de la conscience énergétique dont il surgit.
Tel est du moins mon point de vue, le point de "vie" de cet ouvrage, son lieu d'ancrage." (p. 9)
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"Nous avons beau vouloir fuir notre destin véritable, l'univers nous retrouve le jour où ce que nous appelons notre vie s'effondre avec l'arrivée de la maladie. La Conscience nous invite alors à redevenir nous-même au prix de renoncements exemplaires. La démarche de guérison implique une telle ouverture et la reconnaissance de cette globalité en nous.
Quelle est la vie concrète qui mène à cette ouverture, au bout du compte? Le processus de guérison est une démarche qui sollicite tous les aspects de l'existence: nos habitudes de vie, notre alimentation, nos relations personnelles et affectives, nos conflits intérieurs ainsi que les rapports que nos entretenons avec la Conscience. Comment associer toutes ces composantes et les impliquer dans un processus de guérison: tel est le sujet de ce livre.
Pour éviter toute confusion, je dirai d'emblée que les points de vue exprimés ici ne prétendent pas se substituer au traitement médical prescrit. Au contraire, ils visent à le compléter et à le renforcer. Second élément, le fait de se responsabiliser face à la maladie doit permettre à la personne de prendre une part de plus en plus consciente à son traitement, une des clés du processus de guérison. Or, cette responsabilisation ne consiste pas, comme le prétendent certains, à culpabiliser la personne, mais plutôt à l'amener à rendre cette maladie signifiante pour lui permettre d'agir sur elle.
Je n'ai pas écrit ce livre avec une quelconque prétention scientifique, même si je m'intéresse aux nouvelles voies de la science. Je ne suis ni médecin, ni thérapeute, ni propagateur d'une méthode exclusive d'autoguérison. Ce livre témoigne plus simplement d'un vécu avec une maladie et d'un cheminement accompli en parallèle avec la démarche médicale classique. Il témoigne d'une autre description du monde, d'une conception élargie de la souffrance et , en bout de ligne, d'une transformation intérieure. Cette démarche est aussi le fruit d'une longue quête personnelle qui m'a mené un peu partout, chez les maîtres de sagesse, mais aussi à la rencontre de scientifiques et de penseurs de renom tels David Bohm, Rupurt Sheldrake, Karl Pribram ou Michael Talbot. Ceux-ci ont frayé la voie à une conception qui aujourd'hui bouleverse notre représentation de l'univers et celle du corps humain, son substrat à l'échelle microcosmique. Ce livre, à la fois récit et essai, s'inspire d'une telle vision. Au lecteur d'entreprendre ce voyage avec moi si cela peut le guider, comme je le crois, dans son processus de métamorphose et de guérison." (p. 15-16)

Verso couverture:

"La médecine occidentale moderne dépiste et soigne le cancer, mais elle ne tire pas parti des découvertes récentes qui montrent comment mieux s'en protéger.
David Servan-Schreiber retrace les aventures scientifiques passionnantes qui ont mené à cette approche et propose une pratique de prévention et d'accompagnement des traitements classiques - avec des résultats constatés par la recherche de pointe - pour se construire une biologie anticancer.
Nous pouvons tous agir dans quatre domaines principaux. Ainsi: nous prémunir contre les déséquilibres de l'environnement ; ajuster notre alimentation; guérir nos blessures psychologiques; établir une relation différente à notre corps.
David Servan-Schreiber ne parle pas seulement en tant que médecin et chercheur. Il révèle ici qu'il a été atteint par un cancer, raconte sa confrontation avec le maladie et dit comment il s'est soigné. En partageant cette expérience, qui apparaît comme une aventure intérieure brûlante, David Servan-Schreiber espère qu'il aidera chacun, quelle que soit sa situation, à mettre toutes les chances de son côté."

Extrait:

"Il faut le dire d'emblée: il n'existe à ce jour aucune approche alternative capable de guérir le cancer. Aujourd'hui il est impensable de prétendre soigner le cancer sans recourir aux techniques remarquables mises au point par la médecine occidentale: chirurgie, chimiothérapie, radiothérapie, immunothérapie, et bientôt thérapie génique.
Toutefois, il est tout aussi déraisonnable de s'en remettre uniquement à ces approches conventionnelles et de négliger la capacité naturelle de notre corps à se protéger contre les tumeurs, que ce soit pour prévenir la maladie ou pour accompagner les traitements.
...
La première partie présente une nouvelle vision des mécanismes du cancer, laquelle permet d'agir pour se protéger. Elle est fondée sur le rôle essentiel et encore peu connu du système immunitaire, la découverte des mécanismes inflammatoires qui sous-tendent la croissance des tumeurs, et sur la possibilité de bloquer leur développement en empêchant leur ravitaillement par de nouveaux vaisseaux sanguins.
Il en découle quatre approches que chacun peut mettre en oeuvre pour se construire une biologie anticancer, à la fois du corps et de l'esprit: comment se prémunir contre les déséquilibres de l'environnement qui se sont installés depuis 1940, et qui alimentent l'épidémie actuelle de cancer. Comment ajuster son alimentation pour réduire les promoteurs du cancer et inclure le plus grand nombre de composés phytochimiques qui luttent activement contre les tumeurs. Comment comprendre - et s'en guérir - les blessures psychologiques qui alimentent les mécanismes biologiques à l'oeuvre dans le cancer. Et enfin, comment tirer parti d'une relation à son corps qui agisse sur le système immunitaire et calme l'inflammation qui fait croître les tumeurs.
Mais ce livre n'est pas un manuel de biologie. La confrontation à la maladie est une aventure intérieure brûlante. Je n'aurais pas pu écrire ces pages sans revenir aussi sur les joies et les peines, les découvertes et les échecs qui font de moi aujourd'hui un homme considérablement plus en vie qu'il y a quinze ans. En les partageant avec vous, j'espère vous aider à trouver des pistes pour votre propre aventure. Et qu'elle sera belle." (p. 18-21)