Documents  Leucémie | enregistrements trouvés : 16

"Avec ce livre, je vous invite à entamer l'aventure de votre guérison. Avant tout, je vous demande de considérer ce point essentiel: vous ne pouvez partir que de là où vous êtes dans le cours de votre vie, et non de là où vous voulez être. Je le sais, pour nombre d'entre vous, cet itinéraire commence par le diagnostic d'un cancer ou d'une autre maladie mortelle.

Pour ceux d'entre vous qui se sentiraient seuls dans cette démarche, ou séparés des autres par la maladie, vous trouverez, j'en suis sûr, force et réconfort en faisant la connaissance de Reid Henson au fur et à mesure des lettres qu'il vous a adressées. Il est passé par là. Il sait ce que représente la confrontation au cancer pendant de nombreuses années, ils sait aussi ce que signifie être à nouveau en bonne santé." O. Carl Simonton.

"Reid Henson, homme d'affaires américain, quarante ans, est atteint d'un cancer incurable en phase terminale. Diagnostic des médecins : il lui reste moins de deux ans à vivre.

De sa rencontre en 1979 avec le Dr Simonton naît la guérison. Ensemble, ils vont écrire ce livre, étonnant dialogue entre un médecin et son patient.

Reid raconte dans ses lettres comment il est tombé malade, ses angoisses, son désespoir, puis son désir de lutter et son combat pour la vie. Le Dr Simonton commente, analyse, suggère, présente les étapes de sa méthode, donnant ainsi un prolongement scientifique à ce témoignage."

Témoignage d'une femme atteinte d'une leucémie, victime d'une rechute.

"Ce livre fait entendre une parole rare : celle d'une femme qui a côtoyé la mort...Au coeur de ses nuits, au bord de l'asphyxie, elle découvre à nouveau la vie et la reçoit comme un fabuleux cadeau, une grâce."




"Surtout, ne vous laissez pas décourager par le titre! Ce livre est un hommage à la vraie nature de la vie, un petit bijou dans son style. L'auteure a traversé une leucémie suivie d'une rechute et a vu la mort de très près. Elle raconte son voyage intérieur pendant toutes les étapes jusqu'à sa rémission et comment elle a appris à vivre en apprenant à mourir. Elle partage sa plus grande découverte, à savoir que la vie est un don et comment, pour elle, accueillir la mort lui a permis d'accueillir le don de la vie. Tout son récit est empreint de transparence, de spiritualité et de beaucoup d'humanité. Pour elle, accepter de mourir, c'est accueillir ce qui est , c'est être pleinement présent à ce qui est sans chercher à être ailleurs. Son message : apprendre à accepter sereinement que ce qui doit être soit, dans la confiance et la foi absolue. Pour elle, ce fut une libération, cela lui a permis de s'approcher de son vrai soi, dans son unicité et elle vit maintenant plus intensément que jamais à être profondément elle-même, à oser faire ce qu'elle n'osait pas faire avant et à se sentir de plus en plus libre. L'acceptation de la mort ne signifie pas la résignation mais plutôt l'acceptation de ce qui est, de la même façon qu'elle accepte la vie maintenant. Lorsqu'il lui arrive d'oublier que la vie est un don, la peur de la mort ressurgit aussitôt en elle.

Pour elle, dans la peur de la mort, il y a la peur de la vie et elle affirme qu'elle risquerait sa vie plutôt que de ne pas vivre. Ce récit est bouleversant mais pas de la façon dont le titre pourrait nous le faire appréhender. Il bouleverse par son authenticité et sa simplicité. Il nous ramène à l'essentiel, soit l'acceptation de soi et de ce qui est, dans le moment présent. Il nous rappelle d'être fidèle à soi et nous invite à reprendre contact avec sa nature profonde et sa foi pour vivre pleinement tous les précieux instants qui nous sont donnés. Ce livre est bouleversant finalement parce que, malgré son sujet d'apparence macabre, il est tout à fait réjouissant! Laissez-vous tenter, il vaut le déplacement."

Par Chantal Mireault
27/03/03

Verso couverture:
"C'est une extraordinaire aventure humaine. Il s'agit de mon combat contre la leucémie. Une seconde leucémie. Dès l'annonce de la maladie, ma fille m'a invité à initier un blog pour restituer mon parcours. J'ai suivi son conseil. Romancier à mes heures, il était clair quel'écriture pouvait être une aide. Elle a bien eu raison. Écrire est une thérapie."

L'auteur, début quarantaine, est marié et père de deux enfants.

Verso couverture:

"J'ai voulu, dans ce livre mettre en évidence la moelle osseuse, cet extraordinaire organe, souvent méconnu, dont nous dépendons, qui travaille pour notre bien-être et notre immunité.
Les découvertes récentes nous ont menés à mieux comprendre l'intimité moléculaire de cet organe et à intervenir sur son fonctionnement. Les greffes qui, il y a peu de temps, nous semblaient impossibles sont désormais des interventions courantes.
Si les maladies les plus fréquentes de la moelle osseuse sont la conséquence de carences en fer et en vitamines, les avancées fondamentales actuelles nous conduisent à la guérison de maladies comme les leucémies et les lymphomes, et à la réparation d'anomalies héréditaires qui altèrent la fabrication du sang."

Ouvrage accessible.

"Quand je serai grand, je serai guéri! Plus qu'un slogan, la phrase de tout un combat!
Les mots de Charles Bruneau résonnent encore dans la tête et dans le coeur de milliers de Québécois.
Charles, par sa fraîcheur, sa vivacité et son courage, demeure une inspiration pour tous ces jeunes qui, jour après jour, se battent encore et toujours avec l'énergie du désespoir pour vaincre la maladie.

Au fil des pages, Pierre Bruneau raconte les neuf années de batailles, de victoires et de défaites amères de son fils, un enfant somme toute comme les autres, mais qui n'a jamais baissé les bras.

De l'établissement du diagnostic jusqu'au décès de Charles, Pierre Bruneau nous dit que l'on n'accepte jamais la maladie, même si l'on finit par s'y résigner, à force de douleur, à force de constater son impuissance devant ceux qui sont atteints." (verso couverture)

"Qu'est-ce que l'espoir pour chacun d'entre nous? Peu importe l'épreuve que nous devons affronter, que ce soit la maladie, une situation de travail difficile, une mésentente conjugale, peu importe l'événement, il ne faut jamais perdre espoir. Je ne parle pas en philosophe, je parle d'expérience, pour avoir vécu avec ceux qui se battent. Au fil des ans, j'ai constaté que même ceux qui ont perdu des enfants n'ont jamais perdu espoir, jusqu'au dernier souffle, et même après : l'espoir que leur enfant, même dans la mort, soit bien. S'il était mal dans sa peau, qu'il soit au moins bien ailleurs et autrement.

Lorsqu'on réussit à garder cette mentalité, à garder ça en tête, un grand bout de chemin est déjà fait. Voilà un mot fort, important : l'espoir." (p. 20-21)

Verso couverture:

"À la fin du mois d'août 2001, alors que je suis installée dans mon bureau, au premier étage de la maison d'édition où je travaille, ma vie bascule. Littéralement, elle tombe par terre. Finie, l'assurance aveugle de durer toujours. Finis, le jeu social et ses divertissements. Fini, le confort d'une société construite par et pour ceux qui vont bien. Est-ce la fin de tout? Non. Car dans l'expérience extraordinairement violente qui consiste à affronter l'idée de sa propre disparition, on apprend beaucoup. Sur la force des instants. Sur le courage et la fragilité. Sur les puissances de l'amitié. Et sur notre capacité à rire. De tout.

La vie est une maladie mortelle. Mais c'est la vie. Marie Desplechin et Lydie Violet ont écrit ce livre ensemble, pendant de longs mois, sans certitude de jamais le terminer. Ni entretien, ni témoignage, ni récit à deux voix, c'est , à force d'écoute et de partage, un livre où le je qui s'exprime est celui d'un seul auteur."

Verso couverture:

"D'abord,oser prononcer le mot et regarder l'ennemi en face, pour mieux le combattre. Le cancer est loin d'être toujours fatal. La rayonnante Miss France 1987 le sait bien, elle qui a surmonté une terrible leucémie avant de devenir la compagne de Jean-Pierre Pernaut, et la mère de leurs deux enfants. Mais elle sait aussi à quel point l'on peut se sentir désemparé devant cette maladie. Comment apaiser la frayeur qu'inspire pareil diagnostic? Faut-il en parler à ses proches, à ses enfants? Que peut-on attendre d'eux? Comment, de leur côté, devraient-ils se comporter? Comment accepter la fatigue, l'amaigrissement, la chute des cheveux? Quelles astuces permettent de mieux supporter la chimiothérapie? Quels petits plaisirs s'accorder pour maintenir son appétit de vivre? Et après...Après la guerre, comment renouer avec une existence normale?
Forte de son expérience et de celle de nombreux patients, confortée dans ses dires par d'éminents médecins, Nathalie Marquay-Pernaut propose ici un "livre de chevet", très précieux, à tous ceux que le crabe tente de prendre dans ses pinces. Avec, tout au long des pages, des ondes d'optimisme et d'espoir."

Extrait:

"Parler du cancer...Mon propos n'est pas de me substituer aux médecins ou aux chercheurs. Je n'ai pas les connaissances nécessaires pour prétendre rivaliser avec les personnes compétentes en la matière. En revanche, je peux me mettre è la place du malade puisque j'ai moi-même souffert d'une leucémie. Si cet ouvrage et les quelques conseil qu'il renferme, si modestes soient-ils, permettent à quelques-uns d'entre vous de prendre leur destin en main et surtout de garder l'espoir, alors mon témoignage ne sera pas vain.
Parler du cancer...Pour dire qu'il ne s'agit pas d'une maladie honteuse. Il n'y a pas de maladie honteuse. Il n'y a que des gens qui souffrent. Les hommes et les femmes que je rencontre lors des séminaires auxquels je participe pour parler de mon combat se confient souvent à moi. Ils me livrent le désespoir dans lequel ils se trouvent parfois, car il leur faut, dans certains cas, supporter le poids de l'angoisse et du silence, au risque de faire éclater leur famille. Beaucoup de malades se réfugient dans le mutisme parce qu'ils n'osent pas révéler la vérité à leurs proches ou à leurs enfants, afin de les protéger, voire de peur d'être rejetés ou abandonnés. Cet aveu d'impuissance est intolérable à entendre.
Nous avons tous le pouvoir de décider si oui ou non nous acceptons le défi que le sort nous impose en nous mettant ainsi à l'épreuve. Je ne suis ni plus forte ni meilleur qu'une autre. Je suis une femme ordinaire qui a su, grâce aux médecins, à son entourage et à une bonne dose d'optimisme, vaincre le cancer. Oui, je m'en suis sortie.
Alors pourquoi pas vous?" (p. 14-15)

Verso couverture:

"Il y a une vie avant la mort, même quand celle-ci se fait toute proche : telle est la conviction de Nicolle Carré lorsqu'elle apprend qu'elle va bientôt mourir d'une leucémie foudroyante. Sûrement est-elle secourue par ses connaissances de thérapeute, par sa pratique de la méditation orientale, et avant tout par sa foi chrétienne. Mais quand la maladie est sur le point de gagner la partie, où trouver la force? Dans le couple, qui vit alors une deuxième lune de miel. Miel amer, puisque Olivier Carré, universitaire et incroyant, partage avec elle cette expérience de l'ultime où le corps s'effondre et où l'âme se dénude. Au rythme de la mort dont le spectre s'éloigne, revient puis disparaît, les deux époux s'engagent sans masque ni fausse pudeur vers des questions fondamentales - euthanasie, don d'organes, survie de l'âme, sens de la vie - qu'ils abordent dans un dialogue ouvert et passionné.
Ce dialogue, et les enseignements que livre Nicolle Carré à la suite de cette traversée à deux, nous offrent un regard éclairé sur la fin de vie et son accompagnement. Rarement cette question qui nous concerne tous aura été abordée avec autant de franchise et de lucidité."

Extrait:
"Ce livre parle de survivants, de leurs familles, des gens qui les ont soutenus et des donateurs. Il raconte leur lutte et leur triomphe ultime. Il parle de tous ceux qui leur ont prodigué leurs soins experts, leur ont donné leur amour et leur compassion pour les soutenir en cours de route. Il nous montre que les survivants peuvent réaliser de grandes choses, tout en inspirant et encourageant les autres. Si une image vaut mille mots, nous espérons que les histoires et les visages présentés dans ce livre réconforteront ceux qui affrontent le cancer du sang, qu'ils en soient atteints eux-mêmes ou qu'il s'agisse d'un être cher. Nous espérons aussi que ce livre encouragera d'autres personnes à devenir donneurs de moelle osseuse ou de cellules souches, et que chaque lecteur aidera à sa manière.
Ce livre traite d'optimisme et d'espoir. Il ne guérira pas le cancer du sang, mais chaque histoire transmet du réconfort, de l'espoir et du courage aux moments où l'on en a le plus besoin." (p.14-15)

Ouvrage colligé par William Brock, greffé de la moelle osseuse et survivant d'une leucémie.
Ouvrage vendu aux profits de la Fondation de l'hôpital Maisonneuve-Rosemont de Montréal.
Photographies soignées.

"Ce livre est le récit de Lili, une adolescente de 15 ans et demi en cours de traitement pour une leucémie aiguë au service d'hématologie à l'hôpital d'Avicenne. Son univers: son amoureux Mouss, le docteur Hope - leur médecin bien-aimé qui prescrit "des gourdes de philtre magique et des séances de laser intersidérales", et le docteur Pompon qui, tous les jours endosse son rôle de clown médecin. Le lecteur suit avec délectation le quotidien d'une adolescente - non pas celui de sa maladie, mais la vie d'une jeune fille de son âge - à l'hôpital, où le docteur Hope "spécialiste en musique et rigolade", met tout en oeuvre pour que le rire soit un sésame dans son service, aidé du docteur clown où l'auteure fait découvrir ce métier et la difficulté parfois de l'exercer. Traité avec beaucoup d'humour et de sensibilité, cet ouvrage est une leçon de vie et de bonne humeur."
Vivre, juin 2019, no 382

À l'intention de tous dès 11 ans.