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Verso couverture:
"Alzheimer, Parkinson, aphasie, cancer... cet ouvrage porte l'éclairage , non sur le patient atteint de ces maladies, mais sur ses proches: les aidants.
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En quoi consiste, selon les pathologies, le rôle de l'aidant? Comment appréhender l'implication et la charge que représente cette fonction? Comment comprendre la relation aidant-aidé?
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Cet ouvrage dresse un panorama des travaux sur le sujet: des pathologies où le rôle de l'aidant est déjà reconnu à celles où il est méconnu. C'est un véritable appel à l'aide que lancent les auteurs pour soutenir la recherche sur les aidants."

Ouvrage à l'intention des intervenants.

"Tout cancer bouleverse la vie des personnes qui en sont atteintes, ainsi que celle de leur entourage. La sexualité n'échappe pas à ces bouleversements. Le retentissement psychoaffectif ainsi que les traitements du cancer peuvent impacter la qualité de vie du patient et de son partenaire, pendant et après la maladie. Pour aborder ce sujet tabou, Sébastien Landry, psycho-sexologue spécialisé en cancérologie, a consacré un ouvrage qui participe à l'amélioration des conditions de vie des personnes malades. Sous forme de boîte à outils, l'auteur brise les idées reçues, propose des solutions et répond aux interrogations les plus intimes. Un livre qui s'adresse aussi bien aux personnes malades qu'aux soignants." Vivre, septembre 2018, no 379, p. 07

Extrait:
"Les effets secondaires des traitements sur l'inimité et la sexualité des malades sont nombreux. Bien qu'ils ne soient pas systématiques, ils peuvent être présents et altérer le quotidien, la qualité de vie des personnes. Il est courant de rencontrer, chez les patient(e)s en traitement, une diminution de leur libido pouvant aller jusqu'à un désintérêt total pour toute forme de sexualité. Une atteinte de l'image de soi, avec un corps devenu un corps de soin et parfois altéré par les interventions chirurgicales peut être également rencontrée. Nous retrouvons aussi des dysfonctions érectiles, des difficultés à atteindre l'orgasme, des sécheresses vaginales importantes, des dyspareunies (douleurs à la pénétration) pouvant engendre un vaginisme secondaire (incapacité à être pénétrée), etc. Ces effets secondaires ne sont surtout pas à nier pendant les traitements. Il est vraiment important de mettre des mots, apporter des pistes pour des solutions, afin d'atténuer ces difficultés et d'éviter que ces troubles ne s’installent dans le temps. En effet, il n'est pas rare de voir perdurer ces difficultés une fois les traitements terminés, lors de la phase de rémission" (p. 13-14)

"La douleur n'est pas une fatalité. La soulager permet de retrouver une meilleur qualité de vie et de garder ses forces pour se battre contre la maladie. Dans son ouvrage, le docteur Antoine Lemaire propose aux personnes atteintes de cancer et à leur entourage de devenir acteurs et experts dans la prise en charge de leur douleur, pour améliorer et faciliter leur vie au quotidien. Comment? En expliquant les douleurs du cancer et leurs spécificités, quelles sont les ressources pour les prendre en charge, dans quel environnement et avec quels outils thérapeutiques, qu'ils soient médicamenteux ou interventionnels (antalgiques, techniques de radiologie interventionnelle, etc) ou non médicamenteux. La prise en charge de la douleur est l'un des piliers des soins de support (activité physique adaptée, soutien psychologique, nutrition, etc), qui prennent en charge les symptômes, qu'ils soient en rapport avec le cancer ou avec ses traitements. Un ouvrage d'un médecin au service des patients et de leurs proches pour trouver des réponses à leurs questions."

L'auteur est médecin spécialiste de la douleur et en soins palliatifs au centre hospitalier de Valenciennes (France).

Verso couverture:
"Le cancer est vaincu, la rémission bien entamée! Oui, mais après? Comment prendre un nouveau départ?
Si la vie ne sera plus jamais comme avant, cela ne veut pas dire qu'elle sera moins bien! Le cancer transforme, les priorités évoluent et il faut encore affronter de nombreux défis: Comment faire face à la fatigue, à la douleur? Comment renouer avec son corps et sa sexualité? Comment retrouver une vie familiale et sociale? Comment aborder le retour au travail? Comment combattre la peur de la rechute?
Les deux auteurs ont été confrontés à cette épreuve. Leur livre réunit témoignages de patients, avis de spécialistes, conseils... Vous n'êtes pas seul à faire face à cette nouvelle étape!
Sans tabou, avec bienveillance et une touche d'humour, cet ouvrage offre un regard neuf sur l'après-cancer, ainsi qu'une précieuse liste de solutions."

Extrait:
"C'est un exercice toujours délicat que celui de lire les vies à livre ouvert, d'appréhender le chapitre et l'après-chapitre. Le parcours de la maladie est inéluctablement marqué par des étapes et celle de l'après-cancer ne peut être négligé. Par crédulité, on croit que le cancer est une période bien balisée, avec un point de départ (l'annonce de la maladie) et un point d'arrivée ( l'annonce de la rémission). Mais c'est comme les Poilus qui ont connu la guerre de tranchées: ils sont les seuls à pouvoir dire l'enfer qu'ils ont enduré, et les seuls à pouvoir mesurer combien ça a changé leurs vies, les seuls à ressentir l'indicible logé dans la chair.
Après les traitements, le retour à la vie quotidienne, la reprise des rôles sociaux, familiaux et professionnels attendent les anciens patients. Cependant, cette phase de l'après-cancer est plus complexe qu'on ne l'imagine.
En effet, le patient a d'un côté le soulagement d'avoir terminé les traitements et de l'autre côté l'incertitude, la vulnérabilité et la perte de contrôle. Il fait face à une réévaluation de ses priorités.
...
Il est nécessaire de passer par une phase d'ajustement, comme un phase de transition. C'est plus ou moins difficile et sournois, mais oui l'après-cancer c'est tout un programme!
Les pages qui suivent abordent ce sujet, listant les principaux points de difficultés que nous avons identifiés, en apportant des réponses d'experts (médecins, psychologues, sexologues...)."
(p. 8-9)

Verso couverture:
"Il y a encore quelques années, il semblait impossible de conseiller aux malades atteints d'un cancer de faire de l'exercice physique. Pourtant, une activité physique régulière, adaptée est désormais fortement recommandée afin de lutter contre les effets secondaires des traitements. Comment s'y prendre? Quels sont les sports choisir? À qui s''adresser pour être pris en charge?
En effet, il est parfois difficile de se lancer dans une activité sportive sans consignes précises et souvent pour la première fois. Ce livre vous propose de découvrir les activités les plus adaptées, afin de profiter de leurs effets bénéfiques: meilleur moral, réduction de la fatigue ressentie, plus faible risque de récidive...
Cet ouvrage est un guide complet pour tous ceux - malades, familles et professionnels - qui veulent comprendre pourquoi l'exercice physique est important dans le cadre d'un traitement global du cancer. En donnant des pistes et des conseils pratiques, les auteurs permettent à chacun d'agir pour une meilleure qualité de vie."

Extrait:
"Nous le savons, l'exercice physique est bon pour la santé générale d'un individu qu'il soit atteint de cancer ou non: c'est une certitude. La pratique d'une activité physique adaptée aux besoins et à la condition physique du malade, et ce dès le début des traitements, a pour objectifs de réduire la fatigue liée au cancer, d'améliorer de façon globale la qualité de vie, d'améliorer la tolérance aux traitements et de leurs effets à moyen et long terme ainsi que de favoriser un allongement de l'espérance de vie et une réduction du risque de récidive. La littérature scientifique ne cesse de le mettre en avant, l'activité physique pour une personne ayant ou ayant eu un cancer est très importante. Plus l'activité physique est entamée tôt dans le parcours de soins, plus ses effets seront bénéfiques sur le malade. C'est également vrai si elle est maintenue dans la phase d'après cancer. En effet, la pratique d'une activité physique d'intensité modérée à élevée et régulière tout au long de la vie réduit le risque de récidive ou de survenue d'un autre cancer." (p. 11)

Les auteurs sont respectivement docteure STAPS, professeur d'éducation physique et sportive et psycho sexologue spécialisé en cancérologie.