Documents  Revault, Jean-Yves | enregistrements trouvés : 3

Verso couverture:

"Jusqu'où peut aller la magie de l'écriture? Peut-elle nous libérer de nos souffrances, frustrations et traumatismes anciens, qui ont très souvent été générés par un manque d'amour? Est-il possible d'échapper à nos conditionnements, de ne plus être manipulés par nos croyances et nos peurs de ne pas être aimés? L'écriture est l'une des méthodes de développement personnel qui permettent d'accoucher de soi-même : de réparer le passé, d'inventer l'avenir et de construire le présent!

Écrire pour se guérir, écrire comme une respiration, une poussée de vie en soi qui mène à une vie plus riche, plus libre et plus épanouie.

Avec de nombreux témoignages qui illustrent ces propos et aident à comprendre comment écriture-mémoire et écriture-fiction se rejoignent et se complètent.

À la fois théorique et pratique, "La guérison par l'écriture" vous révèle la marche à suivre pour appliquer cette admirable technique de développement et de guérison de soi, par soi-même, pour que vous puissiez entrer en écriture, car écrire c'est vivre, partager et renaître."


Extrait:

"Qui d'entre nous n'a pas eu l'intuition - un jour de désespoir, de désarroi profond, de ténèbres - qu'écrire pourrait lui faire du bien? Du journal intime au roman autobiographique, des lettres symboliques aux fausses lettres d'amour que l'on s'envoie..., il existe mille et une façons d'écrire. Laquelle est la meilleure? Il n'existe évidemment pas de réponse à cette question. Tout est affaire individuelle.
...
Chagrin toujours d'un vécu ancien ou récent ; espoir aussi de panser la plaie et de guérir des blessures pour renaître.

L'acte d'écrire est souvent considéré comme un acte d'auto-guérison. Pour l'illustrer, nos tenterons d'abord de circonscrire la notion de guérison. Celle-ci implique-t-elle nécessairement la notion de maladie? Est-ce être malade qu'être malheureux? Est-ce être malade qu'être boulimique ou anorexique ou phobique?

Être soi-même! Tout est là en vérité. Nous avons été si peu autorisés à être totalement nous-mêmes que pour être aimés malgré tout, nous avons fini par devenir nos propres bourreaux, nous jugeant sans cesse, nous critiquant, nous censurant...Grâce à l'écriture, se libérer de nos carcans et retrouver la pleine estime de soi devient possible. Ce livre vous montre comment. Et c'est au travers de cet objectif pratique qu'il espère devenir votre compagnon d'épanouissement.

Mais lire un livre ne suffit pas. Il n'est de véritable changement que par l'action. C'est la raison pour laquelle nous proposons , à la fin de chaque chapitre, une recherche personnelle, directement issue de la Thérapie par l'Écriture, cette méthode de travail sur soi pratiquée depuis des années en France et dans les pays francophones.

Enfin, vous trouverez au terme de cet ouvrage, dans l'annexe "Derniers conseils pratiques", tous les renseignements qui vous permettront, à votre rythme, d'entrer en écriture." (p. 9-10)

Verso couverture:
"En constante augmentation, le nombre des personnes âgées dépendantes devrait atteindre plus de deux millions à l'horizon 2060.
Or, beaucoup de personnes dépendantes sont prises en charge, totalement ou partiellement, par leur famille. Il s'agit là d'une tâche épuisante et méconnue.
Ce livre a pour objectif de rompre avec le silence qui pèse sur ce sujet complexe et douloureux, et d'aider les accompagnants à voir plus clair.
Tous les sujets sont abordés, y compris les plus tabous: le despotisme des personnes dépendantes, les tensions au sein de la fratrie, les bouleversements psychologiques, les délicats problèmes d'intimité, la nécessité de se ressourcer, les culpabilités, etc.
Ce livre montre également comment l'accompagnement d'un parent dépendant peut se vivre positivement et comment cette épreuve peut devenir une véritable chance pour mieux goûter la vie et l'amour."

Extrait:
"Ce livre ne raconte pas l'histoire d'un bon fils qui accompagne sa mère en fin de vie. Car le bon fils est parfois excédé, et il se met en colère. Après, il a honte. Et puis il ose aborder plusieurs sujets tabous - soigneusement évités par la plupart des officiels de l'accompagnement - comme l'intimité, le ras-le-bol, l'exigence parfois despotique de la personne en fin de vie, la culpabilité liée au fait de ne pas en faire assez, la solitude dont on souffre quand on accompagne, les sales nuits quand à trois heures du matin sonne le téléphone "j'peux pas dormir, qu'est-ce que je fais?", les problèmes matériels, la rivalité entre frères et soeurs, l'épuisement moral, ect." (p. 13)